Jumelée à Provins, Pingyao est une ville de style très ancien. Elle a été fondée il y a 2700ans. Elle est entourée de remparts. Ancienne capitale financière de Chine grâce à la construction de la banque Rishengchang. La pauvreté la fait tomber dans l’oubli, mais elle échappe aux exactions des gardes rouges et plus tard à la destruction massive du patrimoine pour le développement rapide du pays. Elle a plus ou moins été sauvée par un professeur d’urbanisme qui a pris conscience du potentiel de cette ville (touristiquement parlant). En effet on a pu le constater en se promenant dans la ville.
À l’entrée de la porte principale, une multitude de transports électriques pour parcourir les rues, bien que les véhicules soient interdits.
Il y a beaucoup de choses à visiter. Il ne faut pas trainer.
Les remparts elles même valent la visite.
On parvient à trouver une rue isolée, surement plus animée le soir.
Ensuite des demeures, principalement la banque qui a fait que cette ville a été la capitale financière. La résidence du fondateur de cette dernière (Lel Lütal), et aussi l’ancien siège du gouvernement.
La prison.
Un instrument de torture.
Que serait une ville de Chine sans temple ?
Les deux principaux étants (le temple de Conficius et le temple des Dieux de la cité)
Dans celui des dieux de la cité, une pièce est consacrée aux scènes de tortures. C’est assez répugnant, ils ont de l’imagination.
Ça nous donne des idées de combats au temple des arts martiaux.
Qui dit ville touristique, dit bars.
Animation dans la rue.
et souvenirs…
On craque (Brian) pour un flute chinoise.
On découvre des toilettes originales.
On n’oublie pas les spécialités.
On n’a pas gouté ça mais le bœuf de Pingyao s’avère être une tuerie.